Le témoignage saisissant d'une adepte du sexe extrême !
Jeune femme de bonne famille, nymphomane et bisexuelle, Caroline croyait avoir fait le tour de la question. Et voilà qu'un jour, alors qu'elle traquait une proie féminine, celle-ci est victime devant elle d'une envie pressante. Ce qui se passe ensuite va modifier à jamais la vie sexuelle de Caroline. Elle va découvrir les joies de la souillure... Et plonger dans un univers noir dont elle n'imaginait même pas l'existence.
Poursuivant sa quête de plaisirs anormaux, Frédéric Mancini a recueilli la confession de la narratrice (qui préfère, on devine pourquoi, conserver l'anonymat).
Priscilla menait une vie désespérément morne en poursuivant mollement ses études. Et voilà qu'elle rencontre Lucile, une " bi ", comme on dit maintenant, qui après moult jeux saphiques, l'entraîne un soir dans le sous-sol d'une insolite boîte de nuit. Et là, elle va faire une découverte qui bouleversera toute son existence : il y a des trous dans les murs de certaines cabines, et devinez à quoi servent ces trous ?
Frédéric Mancini, dont nous avons déjà lu Dogging et Chaudes Beurettes, est curieux de tout ce qui dans la sexualité actuelle sort des sentiers battus ; il était donc logique qu'il s'intéresse au récit de Priscilla dont il a rédigé pour vous la " confession ".
Quel homme n'a jamais regardé les fesses d'une fille qui passait dans la rue ? Pour Richard, pourtant, ce travers purement masculin prend très tôt la dimension d'une obsession, qu'il assouvira sa vie durant avec nombre de filles complaisantes. Callipyges de toutes races n'ont pas fini de lui offrir leurs rondeurs arrière...
Diva des podiums, Joana était l'un des top-modèles les plus adulés et les mieux payés du monde de la mode. Ses caprices défrayaient régulièrement la chronique, et elle se croyait tout permis. Raison pour laquelle elle se laissa aller jusqu'à frapper un jour avec violence l'une de ses employées ; laquelle porta plainte et notre héroïne se vit condamnée à des heures de travail d'intérêt général dans une entreprise de nettoyage... Laissez-moi vous dire qu'elle n'a pas fini d'en voir !Frédéric Mancini, que nos lecteurs connaissent bien, s'est inspiré pour ce récit des confidences d'une de ses amies... dont il a quand même épicé généreusement les propos. Personne ne s'en plaindra...
Les voies de la jouissance sont très variées. C'est ce que constate la narratrice de ce récit le jour où la vessie trop pleine, et ne pouvant se soulager dans les lieux prévus à cet effet, elle est victime d'un " accident "... Ce n'est pourtant pas la honte qui la submerge, mais un orgasme comme elle n'en a jamais connu ! Elle va rapidement découvrir que pas mal d'autres personnes se sentent concernées par l'ondinisme, ce qui lui permettra de s'adonner à des jeux très variés avec des partenaires des deux sexes... On ne présente plus Frédéric Mancini aux lecteurs de cette collection. Ils connaissent sa quête systématique de toutes les déviances sexuelles. La jeune perverse dont il a recueilli les confidences a pris autant de plaisir à les lui faire que lui a les écouter...
La vie de Florian pourrait sembler, au départ, identique à celle de pas mal de jeunes adultes : il couche avec deux femmes, dont l'une est la mère de l'autre. Chose somme toute banale, direz-vous. Sauf que Florian a un don rare : c'est un bricoleur de génie. Vous allez lire comment, à la suite d'un accident de la route heureusement sans gravité, mais traumatisant pour sa virilité, ses deux passions, la mécanique et les filles, vont se rejoindre de la manière la plus surprenante... On ne présente plus Frédéric Mancini aux lecteurs de cette collection. Pour ce qui est du sexe, il est au moins aussi " inventif " et " bricoleur " que le personnage de son dernier roman.
Parmi tous les nouveaux modes de sexualité liés au développement des nouvelles technologies, l'un d'entre eux est en pleine expansion : le sexting. Cela consiste à envoyer à un éventuel partenaire des photos dénudées ou des vidéos coquines, en espérant que cela débouchera sur une rencontre. Ce qui est généralement le cas, car il est difficile de résister à ces messages très particuliers. Lorsque débute ce récit, Ingrid ne sait encore rien de la formidable folie du sexting qui agite pas mal d'établissements scolaires aux USA. Elle ne sait pas non plus que ce mouvement, par une contagion que personne ne peut expliquer, s'est étendu en France... Son premier contact avec le monde du sexting, elle l'aura un matin, en se rendant aux toilettes... Nous vous laissons découvrir comment...
Nous étions deux beaux hypocrites
Nous
étions deux beaux hypocrites. J'ai posé mes doigts sur le collant. Malgré la
surface douce, un peu rêche, je percevais aussi bien, sinon mieux que si elle
avait été nue, la chaleur de sa peau. Elle était brûlante... J'y ai été très
doucement, remontant le long des cuisses, dans un mouvement de palpation, qui
était en fait une caresse.
Sa vie, je n'avais aucun mal à l'imaginer.
Elles étaient toutes pareilles. Des vies sans plaisir, sans caresses, sans
sexe. Et puis, j'arrivais... Elles sentaient qu'il y avait une disponibilité.
Tout se jouait à l'intuition, dans le non-dit. Je me suis arrêté en haut des
cuisses. Elle tenait la robe, les plis masquant encore la culotte que j'avais
entraperçue quelques minutes plus tôt.
-Alors, il vaudrait peut-être
mieux que vous jetiez un coup d'oeil derrière. J'ai un souci par là. Elle a
fait volte-face, hissant e tissu jusqu'à la taille, dévoilant sa croupe lourde,
enserrée par le slip beige immaculé, sous le collant...
- Regardez bien...
Mes doigts se sont posés au creux
de ses genoux. Ce devait être une zone sensible pour elle, elle a eu un frisson
tout à fait charmant.
Je suis remonté. Un instant, j'ai pensé à son mari. Je
l'ai imaginé faisant irruption dans la pièce. Ça m'a glacé. Je n'ai jamais été
très courageux. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle m'a dit :
- On est encore
tranquilles pour une bonne demi-heure...
Je suis remonté
plus haut... Il n'y avait plus de faux-semblants, j'ai fait ce dont j'avais
envie. J'ai enfoncé mes mains à la lisière du collant, puis dessous, et sous le
tissu de la culotte, plaquant mes mains sur ses fesses... Elles étaient
pleines, étonnamment dures,
comme je les avais
imaginées. Je les ai massées doucement, quelques secondes, avant de descendre
le collant à ses genoux, puis de faire de même ave la culotte. L'extrémité de
mes doigts est entrée en contact ave le fond de sa culotte, j'ai perçu une
large tache d'humidité.
Dans cette collection, Esparbec choisit pour vous les meilleurs romans érotiques de la nouvelle génération. À consommer sans modération...
Après quinze ans de mariage, Henri et Anne atteignent la quarantaine. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est pas la joie. Henri exerce un petit boulot d'agent d'entretien dans un collège, et sa femme, infirmière, le méprise pour ça ; de plus, elle se montre rigoureusement frigide. Heureusement, l'horizon de la grisaille quotidienne s'éclaircit pour notre homme. Coup sur coup, diverses rencontres vont mettre un peu d'animation dans sa vie sexuelle... Un roman qui aurait pu s'intituler : " Les Bouchées doubles ", ou encore : " Vive les épouses frigides, le monde appartient à leurs maris frustrés ! " Inutile de présenter Frédéric Mancini, un des plus féconds auteurs de romans érotiques post-modernes ; dans celui-ci, à son habitude, il s'est inspiré des confidences d'un de ses amis ; et il a laissé aller sa plume au gré de sa verve...
Gaëlle venait d'avoir dix-huit ans lorsque sa mère la contraignit, après des études ratées, à prendre un travail pour assurer sa subsistance. Voilà comment elle se retrouva hôtesse de caisse dans une grande surface de province. Ce fut l'occasion pour elle de se frotter au monde du travail... et à la peau de ses collègues (des deux sexes). Car très vite elle allait découvrir un univers parallèle où chacun utilisait ses occupations professionnelles pour vivre intensément ses fantasmes les plus pervers. A la recherche de " territoires inconnus " de la sexualité, Gaëlle fit la connaissance d'un écrivain qui la persuada de raconter son " initiation ". C'est ainsi qu'elle découvrit une nouvelle façon de s'exhiber : dévoiler au public ses " secrets les plus intimes ". Ecrira-t-elle un autre livre ? Tout dépend du plaisir que celui-ci vous aura donné...
Jeune étudiante en école de commerce, Marina part à San Francisco pour suivre des cours et améliorer son anglais. Sur le campus, après moult aventures libertines, elle tombe sous la coupe de Kim, lubrique quadragénaire qui l'initie au fétichisme botté. A son retour en France, métamorphosée par cette aventure, Marina va devenir elle-même le " fantasme " de nombreux fétichistes des bottes.
C'est au cours d'une soirée fétichiste que Frédéric Mancini (auteur de Dogging, dans la même collection) a rencontré Marina. Il s'est contenté d'écrire ce qu'elle lui a confié.
Quand on est jeune, issu d'un milieu modeste, et que l'on vit dans une banlieue morne et décrépite de Londres, la vie n'offre pas grand-chose. La principale distraction reste les soirées entre copains, avec de la bière à gogo, et des filles, naturellement. Les sentiments ne sont pas de mise ; les partenaires, hommes ou femmes, passent des uns aux autres sans complexe. Pourtant, il arrive parfois que l'on s'attache à quelqu'un. C'est ce qui arrive à Bill, le narrateur, qui tombe amoureux d'Helen, une fille étrange qui a un fantasme insolite : se faire déshabiller dans des lieux publics, devant un objectif. Ensuite, elle met en ligne les photos dans son blog. Ce n'est qu'un début : après diverses péripéties cochonnes, Bill se retrouve dans une bizarre association : " City Streets ". Pas de faux-semblants ni de fioritures, cela se passe sur des parkings, dans des magasins et des stations de métro désaffectés, avec des partenaires de rencontre, parfois des clochards. Et tant pis pour Helen dont les rêves de gloire finiront par tomber à l'eau.
Profitant d'une année sabbatique qu'il consacre à des travaux personnels, Patrick, devenu oisif, découvre le monde de la nuit dans la bourgade de province où il habite. Sous les apparences d'un calme immobile, le feu couve et tout est possible, surtout les unions sans lendemain de corps affamés. A la recherche d'une lubrique sirène croisée une nuit, il en vient à tenir une " épicerie de nuit " et à croiser le chemin de nombreuses jeunes femmes qui ont toutes des envies très perverses...
Dans ce nouveau récit de Frédéric Mancini vous allez rencontrer d'insolites " poupées " (de taille humaine) qui n'attendent qu'une chose : qu'on joue " pour de bon " avec elles... A croire que le fétichisme mène à tout, et même à la plus vivante des chairs féminines, celle qui se cache sous les robes de nos compagnes... Grand connaisseur des anomalies de la libido, et particulièrement de tous les fétichismes, l'auteur a recueilli sur la toile de nombreuses confidences. Celles du jeune narrateur de ce " roman " ne manqueront pas de vous surprendre...
Extrait :
Stéphane habitait une grande maison blanche qu’il partageait avec sa mère. C’est lui qui m’a ouvert. Il était en pantalon de survêtement et T-shirt. Ça m’a fait chaud au ventre de le retrouver. Il n’était pas en reste : il bandait déjà sous le coton moulant de son survêtement.
— Ça va ?
Il m’a serrée contre lui, après m’avoir embrassée sur les joues. Sentant contre moi une queue à moitié dure, je n’ai pu m’empêcher de plaquer ma main contre son bas-ventre pour le tâter. Son pieu s’est allongé, s’est érigé en très peu de temps. Stéphane a poussé un gémissement.
— Arrête, sinon je vais m’éjaculer dessus !
Il s’est dégagé, a reculé d’un pas.
— Et puis, on va fermer la porte, ajouta-t-il. Inutile que toute la rue en profite…
Je prenais conscience que j’en avais eu très envie toute la semaine ; j’aurais dû passer plus tôt. Je me suis accroupie devant lui, j’ai baissé son pantalon de survêtement.
— Tu es folle, ma mère est là !
— La mienne aussi ! ai-je répondu, en sortant sa queue de son slip.
Il avait une belle érection ; sa queue formait un arc de cercle.
— C’est pas grave, ai-je ajouté. Je suis sûre qu’elle a déjà sucé des queues dans sa vie, elle aussi.