"Jamais la puissance publique n'aura à ce point démissionné devant des enjeux vitaux, pour aujourd'hui et pour demain."
On n'a sans doute jamais eu autant besoin de puissance publique, face aux bouleversements en cours et aux catastrophes qui s'annoncent. C'est la direction opposée qui est choisie : baisses d'impôts pour les privilégiés et les entreprises, poursuite insensée de la croissance infinie et laisser-faire irresponsable. Cinquante ans après le rapport Meadows (1972), alors que 60 % du vivant a disparu et que des milliers de scientifiques appellent désormais à la désobéissance civile, il est vital de prendre les décisions auxquels les forcenés du profit s'opposent. Ils nous font perdre du temps. Et la vie.
"Pauline était vêtue de brun avec une petite collerette d'un blanc scrupuleux et d'une égalité de plis vraiment monastique. Ses beaux cheveux châtains étaient lissés sur ses tempes avec un soin affecté ; elle se livrait à un ouvrage classique, ennuyeux, odieux à toute organisation pensante : elle faisait de très petits points réguliers avec une aiguille imperceptible sur un morceau de batiste dont elle comptait la trame fil à fil. La vie de la grande moitié des femmes se consume, en France, à cette solennelle occupation."
Aurore Dupin (1804-1876), connue en littérature sous le pseudonyme de George Sand, est une figure centrale de la littérature du XIXe siècle. Elle a activement travaillé à la diffusion d'idées où le progrès, la liberté, l'égalité et la justice le disputent à la place des femmes dans une société qu'elle souhaite entièrement renouvelée.
"Toi non, bien sûr, Vadim, tu es un poète. Un poète égaré parmi les loups."
On l'appelait le mage du Kremlin. L'énigmatique Vadim K. fut metteur en scène puis producteur d'émissions de téléréalité avant de devenir l'éminence grise de Poutine, dit le Tsar. Ayant démissionné de son poste de conseiller politique, les légendes sur son compte se multiplient, sans que nul ne puisse démêler le faux du vrai. Jusqu'à ce qu'une nuit, il confie son histoire au narrateur de ce livre... Cette histoire nous plonge au coeur du pouvoir russe, où courtisans et oligarques se livrent une guerre de tous les instants. Et où Vadim, devenu le principal spin doctor du régime, transforme un pays entier en un théâtre politique d'avant-garde, au sein duquel il n'est d'autre réalité que l'accomplissement des souhaits du Tsar. Mais Vadim n'est pas un ambitieux comme les autres : entraîné dans les arcanes de plus en plus sombres du régime qu'il a contribué à construire, il fera tout pour s'en sortir, guidé par la mémoire de son grand-père - un aristocrate excentrique rescapé de la Révolution - et par l'envoûtante et impitoyable Ksenia, dont il est épris. Le mage du Kremlin, où l'on croise Limonov et Kasparov, des hommes d'affaires, des mannequins et tous les symboles du régime, nous entraîne au coeur du système Poutine.
Grand Prix du roman de l'Académie française 2022.
"Nous nous approchâmes de la valise. Elle était ficelée par une grosse corde de paille tressée, nouée en croix. Nous la débarrassâmes de ses liens, et l'ouvrîmes silencieusement. À l'intérieur, des piles de livres s'illuminèrent sous notre torche électrique ; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts : à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, et quelques Anglais : Dickens, Kipling, Emily Brontë... Quel éblouissement !
Il referma la valise et, posant une main dessus, comme un chrétien prêtant serment, il me déclara :
- Avec ces livres, je vais transformer la Petite Tailleuse. Elle ne sera plus jamais une simple montagnarde."
Quatre adolescents, évadés de leur orphelinat prison, reprennent la lutte perdue par leurs parents quinze ans plus tôt. Leur combat, hymne grandiose au courage et à la liberté, semble désespéré. Et pourtant...
Pendant la guerre de Sécession, cinq prisonniers des Sudistes réussissent à s'échapper à bord d'un ballon. Franchissant les océans, l'engin se trouve pris par la tempête et échoue sur une île perdue au milieu du Pacifique. Semaine après semaine, l'ingénieur Cyrus Smith, le reporter Gédéon Spilett, Nab, Pencroff, Harbert, et le chien Top, s'organisent pour survivre, unissant leur talent et leur ingéniosité. Cependant, des faits inexplicables viennent perturber leur nouvelle existence, leur laissant croire à une présence étrangère... Parviendront-ils à percer le secret que cache l'île mystérieuse ?
Un fantastique roman d'aventures, un chef-d'oeuvre de la littérature. Plongez-vous au coeur d'un monde fascinant imaginé par Jules Verne.
La tribu Malaussène et ses proches
ont le regret de vous annoncer
le mariage de Thérèse Malaussène
avec le comte Marie-Colbert de Roberval,
conseiller référendaire de première classe.
Cet avis tient lieu d'invitation.
"Un matin, Le Petit a décrété :
- Je veux mon papa.
Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que Le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs.
Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette :
- Je veux mon papa."
"- La suite ! réclamaient les enfants. La suite ! La suite !
Ma suite à moi c'est l'autre petit moi-même qui prépare ma relève dans le giron de Julie. Comme une femme est belle en ces premiers mois où elle vous fait l'honneur d'être deux ! Mais, Julie, crois-tu que ce soit raisonnable ? Julie, le crois-tu ? Franchement... hein ? Et toi, petit con, penses-tu que ce soit le monde, la famille, l'époque où te poser ? Pas encore là et déjà de mauvaises fréquentations !
- La suite ! La suite !
Ils y tenaient tellement à leur suite que moi, Benjamin Malaussène, frère de famille hautement responsable, bouc ressuscité, père potentiel, j'ai fini par me retrouver en prison accusé de vingt et un meurtres.
Tout ça pour un sombre trafic d'images en ce siècle Lumière.
Alors, vous tenez vraiment à ce que je vous la raconte, la suite ?"
"L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour ! L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le Petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville...
Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c'est l'amour avec un grand A que je vous offre : tout l'amour du monde !
Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai accepté. J'ai eu tort."
Transformé en objet d'adoration universelle par la reine Zabo, éditeur de génie, Benjamin Malaussène va payer au prix fort toutes les passions déchaînées par la parution d'un best-seller dont il est censé être l'auteur.
Vol de manuscrit, vengeance, passion de l'écriture, frénésie des lecteurs, ébullition éditoriale, délires publicitaires, La petite marchande de prose est un feu d'artifice tiré à la gloire du roman. De tous les romans.
"Je ne savais pas que les enfants avaient failli se faire tuer dans le volume précédent.
Quand j'ai appris que c'était Pépère qui avait fait le coup, j'ai pigé un truc : qui ne connaît pas Pépère ne sait pas de quoi l'être humain est capable."
Benjamin Malaussène
"L'oeuvre de Cabral est l'une des plus influentes dans la poésie moderne brésilienne. Il a profondément marqué, par son originalité, par la rigueur poétique et éthique de ses vers, les poètes brésiliens de la seconde moitié du XXe siècle. Écrivain populaire (ses vers ont été mis en musique par Chico Buarque, et Caetano Veloso se réclame volontiers de lui), il est aussi reconnu comme un immense poète par ses pairs et la critique. Nous espérons, avec ce recueil, faire découvrir aux lecteurs de langue française une oeuvre d'une grande originalité, qui émeut profondément par le regard nouveau qu'elle porte sur le monde."
Mathieu Dosse
Georges Didi-Huberman, La couleur de chair ou Le paradoxe de TertullienJean-Michel Hirt, Voir et spéculer, deux réflexions de l'invisibleLouis Marin, Figurabilité du visuel : la Véronique ou La question du portrait ´r Port-RoyalAlain Boureau, Vues de l'espritDanielle Regnier-Bohler, Le simulacre ambigu : miroirs, portraits et statuesFrançois Gantheret, Du coin de l'ilJoyce McDougall, L'il inquietGuy Rosolato, L'objet de perspective dans ses assises visuellesChristian Flavigny, De la perception visuelle au regardMartine Bacherich, L'intrigue visuelle. ´R propos de ManetJean Clair, Lucian Freud : la question du nu en peinture et le destin du moderneNicole Loraux, Voir dans le noirJ.-B. Pontalis, Perdre de vueHenry James, Hugh MerrowMichel Schneider, L'image dans le passéVaria, VIII : Masud Khan, Trois contes morauxBruno Bayen, Badinter avec MallarméAline Petitier, La lampe ´r gaz c'est moiGeorges-Arthur Goldschmidt, Quand Freud entend l'allemandJean-Yves Tamet, Trivial transfertJ.-B. Pontalis, L'homme immobileEvelio Cabrejo Parra, La chose pointéeBernard Favarel-Garrigues, Comme mon ombreKarima Hirt, L'art de l'énigmeEdmundo Gómez Mango, Parler en langues
Guy Rosolato, Recension du corpsJean-Claude Lavie, Notre corps ou Le présent d'une illusionD.W. Winnicott, Le corps et le selfMasud Khan, L'il entendJean-Pierre Peter, Le corps du délitPierre Fédida, L'anatomie dans la psychanalysePierre Bruno, Sur la formation des concepts freudiens de psychique/physiologiqueFrançois Gantheret, Remarques sur la place et le statut du corps en psychanalyseRené Zazzo, Du corps ´r l'âmeDaniel Widlöcher, L'économie du plaisirDidier Anzieu, Le corps et le code dans les contes de BorgesGeorg Groddeck, Du ventre humain et de son âmeRoger Lewinter, Présentation de Du ventre humain et de son âme de Georg Groddeck
François Gantheret, Présentation [de L'archadque]Paul-Laurent Assoun, L'archadque chez Freud : entre Logos et AnankcMichel Gribinski, Personnages archadques sur la sccneLydia Flem, L'archéologie chez FreudGuy Rosolato, FragmentsJean Clair, Retour, Renaissance et RestaurationJean-Michel Labadie, Le corps criminel, un aujourd'hui du passéGilbert Lascault, Notes sur les forets, les grenouilles et quelques autresJean-Claude Lavie, InfluxLiliane Abensour, De l'autre côté du unNicole Berry, La maison passée présenteAndré Green, Aprcs coup, l'archadqueJean Guillaumin, La blessure des originesAvec Melanie Klein : Didier Anzieu, Comment devient-on Melanie Klein?Jean-Michel Petot, L'archadque et le profond dans la pensée de Melanie KleinFranco Fornari, De l'originaire ´r la plaine de la véritéAlain Gibeault, Symbolisme primitif et formation des symbolesAnnie Anzieu, La dépression reconnue
André Green, L'idéal : mesure et démesureGuy Rosolato, La psychanalyse idéaloducteMarie Moscovici, La dictature de la raisonPaul-Laurent Assoun, Freud aux prises avec l'idéalSophie De Mijolla-Mellor, Idéalisation et sublimationChristian David, Le roc de l'idéologiquePierre Fédida, L'asymptotiqueSerge Viderman, La toile, la mouche et l'araignéeFrançois Roustang, Le respect pour écouter, l'irrespect pour entendreMichel Mathieu, La neutralité mise ´r nu par ses idéauxMichel Schneider, Questions de légitimitéMonique David-Ménard, Insatisfaction du désir, satisfaction de la pulsion : d'un idéal ´r l'autre?Christopher Bollas, La révélation de l'ici et maintenantMichel de M'Uzan, Miscre de l'idéal du moiJean-Claude Lavie, Qui Je...?
Jean-Claude Lavie, RegardsBertram D. Lewin, La vie dure de l'imageJean-Paul Demoule, Les images sans les parolesAgnes Minazzoli, Une tache de naissanceGeorges Didi-Huberman, La plus simple imageFrancois Lecercle, Le regard dédoubléLouis Marin, Trois gloses sur le pouvoir généalogique de l'imageGilbert Dagron, Mots, images, icônesMichael Camille, Les idoles des JuifsLaurence Kahn, Adorer les images?Jean-Michel Hirt, PhotomatonJean-Pierre Vernant, Psuché : simulacre du corps ou image du divin ?Martine Bacherich - Wladimir Granoff, ´R mille milles de toutes les terres habitéesPatrick Lacoste, Sccne, l'autre motDaniel Bougnoux, L'efficacité iconiqueJean Clair, Deus absconditusClaude Esteban, Le travail du visibleFrançois Gantheret, Le fantôme du métropolitain
Jean Starobinski, TJe hais comme les portes d'Hadcs...tMichel de M'Uzan, S.j.e.m. Sami-Ali, L'espace de l'inquiétante étrangetéMasud Khan, L'espace du secretAnnie Anzieu, EmboîtementsOlivier Flournoy, Entre trois et deuxNicole Berry, Entrer en analysePaul Schilder, Psychanalyse de l'espacePierre Geissmann, L'espace de la dépressionHarold Searles, Les sources de l'angoisse dans la schizophrénie paranoddeAlix Strachey, Remarques sur l'emploi du mot TinternetMonique Douriez-Pinol, Les fondements de la sémiotique spatiale chez l'enfantDidier Anzieu, Le moi-peauJean-François Lyotard, Économie théâtriqueJean-Michel Labadie, L'espace meurtriGillo Dorfles, TInnent et TAussent en architecture et en psychanalyseFrançoise Choay, La ville et le domaine bâti comme corpsBernard Lassus, De plus ´r moins
François Gantheret, L'impensable maternel et les fondements maternels du penserMartine Bacherich, Vivre sans airJacques André, Le lien et le rienDidier Anzieu, Un soi disjoint, une voix liante : l'écriture narrative de Samuel BeckettFrançois Robert, Un mot, un seulLydia Flem, L'amour de l'amitiéLaurence Kahn, Lier le songe ou le délierJean Cournut, D'un reste qui fait lienAnne Bouchart-Godard, TMoure-moitJean-Claude Lavie, TPourquoi?tPatrick Lacoste, Les possessifsMichel de M'Uzan, La personne de moi-memeRoger Dorey, Le lien d'engendrementChristian David, Ruptures du lien transférentielMichel Schneider, Legato, ma non troppoSigmund Freud, Une lettre circulaireVaria, I : Marie Moscovici, Il est arrivé quelque choseJ.-B. Pontalis, Melanie Klein : qui a plus contribué...Sylvie Gribinski, Le 29 juin 1983 Manes Sperber dit...Patrick Lacoste, Long flottement au cours de cette séance...Christian David - Michcle David, La plupart des analysants ont...Christian David - Michcle David, La plupart des analysants ont...Henri Normand, Peut-on ´r juste titre estimer...Michel Gribinski, Il y a des façons d'écrire...François Gantheret, Tous les pecheurs de truite le savent...
Jean Starobinski, La vision de la dormeuseSarane Alexandrian, Le reve dans le surréalismeRoger Lewinter, Pans de mur jauneAlexander Grinstein, Un reve de Freud : les trois ParquesDidier Anzieu, Étude littérale d'un reve de FreudElla Sharpe, Mécanismes du reve et procédés poétiquesHoward Shevrin, Condensation et métaphoreSerge Viderman, Comme en un miroir, obscurément...André Green, De l'Esquisse ´r L'interprétation des reves : coupure et clôtureAndré Bourguignon, Fonctions du reveOtto Isakower, Contribution ´r la psychopathologie des phénomcnes associés ´r l'endormissementBertram D. Lewin, Le sommeil, la bouche et l'écran du revePierre Fédida, L'hypocondrie du reveRoger Dadoun, Les ombilics du reveJ.-B. Pontalis, La pénétration du reveGuy Rosolato, Désirer ou/ou reverMasud Khan, La capacité de reverJean-Claude Lavie, Parler ´r l'analyste
"Que peut-on savoir d'un homme aujourd'hui ?" Par l'incessant mouvement de la méthode 'progressive-régressive', des écrits à l'homme et de l'homme à l'histoire, L'Idiot de la famille traque Flaubert pour reconstituer en totalité compréhensible tout ce qu'on sait de lui. Loin de le réduire à l'état de pur objet d'étude, Sartre, sans indulgence mais presque amical, tourne autour de son sujet jusqu'au vertige, jusqu'au point de compréhension extrême où le biographe, comme étourdi par son propre manège, est bien près de se livrer lui-même. Et néanmoins c'est la subjectivité vivante de Gustave Flaubert que l'on sent restituée, le goût singulier de sa névrose.
Silence, brouillard et frères ennemis - Disparu depuis six semaines, Yves Joris est retrouvé amnésique, errant dans Paris. La police constate qu'il a reçu récemment une balle dans le crâne, mais qu'il a été soigné...Silence, brouillard et frères ennemis Disparu depuis six semaines, Yves Joris est retrouvé amnésique, errant dans Paris. La police constate qu'il a reçu récemment une balle dans le crâne, mais qu'il a été soigné ; des indices montrent qu'il s'est rendu en Norvège. Maigret ramène Joris à Ouistreham, où il vivait avec sa servante. A peine arrivé, Joris meurt empoisonné. Maigret enquête dans le port où les gens se taisent, qu'il s'agisse de marins, comme Grand-Louis, ou de bourgeois fortunés, comme Ernest Grandmaison : pourtant, ils savent à l'évidence bien des choses. Adapté pour la télévision en 1972, dans une réalisation de Jean-Louis Muller, avec Jean Richard (Commissaire Maigret) et en 1996, sous le titre Maigret et le port des brumes, par Charles Nemes, avec Bruno Cremer (Commissaire Maigret). Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très "noirs' Romans durs
Mère abusive, femme possessive, homme humilié - Depuis six mois, cinq femmes vivant seules ont été assassinées à Montmartre. Aucun élément n'a permis d'identifier le tueur.
A la suite d'une conversation avec un psychiatre de renom, Maigret monte une mise en scène destinée à faire croire qu'il a arrêté le coupable. Il espère que l'assassin, tuant probablement pour s'affirmer, sera blessé dans son orgueil, éprouvera un sentiment de frustration et se manifestera en tentant une nouvelle agression. Le piège fonctionne...
Adapté pour le cinéma, en 1957, dans une réalisation de Jean Delannoy, dialogues de Michel Audiard, avec Jean Gabin (commissaire Maigret), Annie Girardot (Yvonne Maurin), Jean Desailly (Marcel Maurin), Lino Ventura (inspecteur Torrence) et pour la télévision en 1996, par Juraj Herz, avec Bruno Cremer (commissaire Maigret), Hélène Surgère (Mme Moncin mère).Adapté pour la télévision anglaise en 2016, sous le titre Maigret sets a Trap, par Ashley Pearce, scénario de Stewart Harcourt. Avec Rowan Atkinson dans le rôle du commissaire Maigret.Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très "noirs' Romans durs